Conflits et instabilité
En Éthiopie (région d’Amhara), sur 7,4 millions d’élèves attendus, seuls 2,8 millions ont pu être enregistrés. Les conflits armés et les catastrophes climatiques (sécheresse, inondations) privent des enfants de rentrée scolaire【web†source】.
En République Démocratique du Congo, la rentrée a été marquée par la crise économique et l’insécurité persistante dans l’est du pays【web†source】.
Le coût de la scolarité et des fournitures
Les frais d’inscription, uniformes et manuels représentent une charge trop lourde pour de nombreuses familles. Dans certains cas, cela oblige les parents à choisir quels enfants peuvent aller à l’école【web†source】.
Un nombre d’enfants non scolarisés encore alarmant
En Afrique subsaharienne, environ 98 millions d’enfants restent non scolarisés, une statistique qui ne s’améliore pas assez vite malgré les efforts entrepris【web†source】.
Infrastructures insuffisantes
Dans les zones rurales, les écoles sont souvent éloignées, mal équipées ou en mauvais état. Les conditions d’apprentissage restent précaires, avec parfois une seule salle pour plusieurs niveaux.
Ce que cela signifie pour les familles
Un poids financier important, qui limite l’accès des plus pauvres.
Des inégalités accrues, notamment pour les filles souvent privées de scolarité.
Des risques sanitaires et nutritionnels, car l’école représente parfois le seul endroit où un enfant reçoit un repas complet.
Des rêves brisés, lorsque les conflits ou la pauvreté forcent les enfants à abandonner l’école pour travailler.
https://www.reuters.com/world/africa/africa-feeding-20-million-more-children-with-school-meals-wfp-says-2025-09-10